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Titre: دلالة المطر في الشعر الجاهلي
Autre(s) titre(s): دراسة نسقية سياقية
Auteur(s): بوديار, عادل
Mots-clés: الجاهلية
الشعر
الشعر الجاهلي
الطبيعة
المطر
دلالة المطر
الأسطورة
ميثولوجيا المقدس
التقليد الشعري
قصة: الثور الوحشي
المقدمة الطللية
النسق
السياق
Date de publication: 2015
Editeur: UB1
Résumé: Tout texte poétique porte des emprunts et des allusions humaines qui expriment un voulu de près ou de loin, ainsi qu’il transport les gènes de sa période artistique, chose qui lui transforme en une image iconique qui incarne les traces de son créateur et du temps littéraire où le texte y produit. Alors la poésie préislamique _ en l’attribuant comme une accumulation cognitive_ a présenté un blog qui lui sert à stocker de divers dimensions (humaine, psychologique, cognitive, sociale, historique…). Apparemment, le thème de la description de la nature était souvent l’un des thèmes passionnants pour les chercheurs après que la vision-critique moderne puisse découvrir la mesure de l’activité des phénomènes naturels décrits dans la détection des vision de la vie, intellectuelle et psychologique lorsque le phénomène est devenu, à force de la lecture, à un symbole poétique porteur de signes esthétiques et poétiques suggestifs qui part loin pour sonder la vallée de l’expérience humaine avec tous ses différents détails au fond du poète puis le récepteur. En conséquence, le thème « le signe de la pluie dans la poésie préislamique (lecture contextuelle et systématique) » n’est pas un texte voulu pour soi-même mais c’est un titre qui éclaire divers aspects suggestifs regroupant plusieurs visions implicites du poète préislamique, parce qu’il n’est pas logique de prendre le phénomène de la pluie dans la poésie arabe comme un phénomène dans d’autres thèmes de représentation picturale uniquement mais aussi, il est, sans doute, un signe indicatif pour beaucoup de détails de la vie les plus influents sur l’homme comme étant un être naturel d’un coté, et une entité poétique d’un autre coté, car la nature du désert arabe a établit, avec toutes ses conditions et vicissitudes, des points d’interrogations et confusions qui ont été reflétées dans la vie de l’homme préislamique ce qui fait des phénomènes naturels non naturels , comme il n’avait pas d’explication, et forme des signes des rites expliqués autant des mythes créés par son esprit pour confronter son inquiétude , parce qu’il n’a pas connu une stabilité écologique ou un système naturel, ce qu’il le rend prudent aux fluctuations dans l’atmosphère aux variations climatiques, c’est pour cela sa vie était un voyage durable pour suivre la trace de la vie et chercher des endroits à vivre. Sa joie de l’eau et de la pluie était majestueuse, comme l’a décrit les poètes préislamiques dans longues pauses, contemplant les nuages, la pluie, la foudre et le tonnerre, qui se sont sentit un sentiment d’euphorie en voyant la vue magnifique, car l’homme préislamique savait que l’eau est la source de vie et qu’elle puisse dominer le changement de l’endroit et lui donner une vie en sa profonde image, c’est pourquoi il a fait recours à diversifier ses manifestations et ses types pour être l’interface opposante des espaces d’aridité et de sécheresse qui sont le reflet du regard stérile de la nature. Et, comme la nature du désert est distinguée par la chaleur intense et la sécheresse qui dure des années, l’homme préislamique était profondément attaché à tout ce qu’il lui garantit un environnement stable, il était en mouvement permanent afin de retracer la vie et découvrir des endroits à vivre, il a été souvent annoncer sa joie en gagnant de l’eau ou la pluie dans ses poèmes, qui ne peut qu’être exprimée en poésie, parce que la poésie en tant qu’une créativité artistique n’acquiert pas sa dimension humaine que par les éléments accrochés de l’expérience, donc l’homme préislamique avait un intérêt exagéré de l’eau et de la pluie et de toutes les manifestations naturelles qui en font signes comme l’éclair, le tonnerre, la foudre, le vent, etc…et peut-être son empressement à l’eau le pousse à savoir les conditions de la pluie et les nuages, jusqu’à ce qu’il se familiarise aux eaux agitées et les pluies, il pourrait regarder la foudre et reconnaitre les signes de la pluie, et suivre les endroits où tombe la pluie brillement admirable, par conséquent, nous constatons que l’image de la fertilité, de la vie et de la renaissance, où le poète semblait espéré et priait pour la pluie et la diffusion de la vie sur terre, car la pluie était la source la plus importante de l’eau au désert, c’est pour cela la description d’une scène pluvieuse rend en lui une délectation et une joie inspirées de cette vue pleine de mouvements et vitalité qui indiquent qu’il est d’une contemplation extrême de son environnement il a voulu créer une force parallèle pour être en mesure de déceler les secrets de cette réalité et de s’exprimer, ce qui explique que la poésie préislamique était un facteur artistique qui aide dans la découverte du complexe d’infériorité chez l’homme préislamique dans le désert, car ce sentiment le pousse à produire un monde fertile parce qu’il incarne, à partir de son poème, l’idée du conflit entre le poète l’homme et la nature, et la découverte de sa relation avec la nature a pu cerner ses soucis après avoir collecter toutes ses occupations humaines.
URI/URL: http://dspace.univ-batna.dz/xmlui/handle/123456789/1024
Collection(s) :Langue, littèrature arabes et des arts

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